Collège du Parc
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10-19.03.25 : Semaine des Mathématiques

Cette semaine, les Mathématiques sont à l’honneur au collège !

« Hors les murs », dans la cour de récréation, des élèves des classes de 6ème 1 et 6ème 2 ont mis en évidence une propriété fondamentale de la médiatrice d’un segment :

« Tous les points à la même distance des extrémités d’un segment appartiennent à sa médiatrice. »

Hors des murs de l’établissement, les éléments de symétrie jalonnent notre quotidien. Des élèves des quatre classes de 5ème ont ainsi mené une réflexion approfondie sur ce thème et ont présenté le fruit de leurs recherches à leurs camarades.

De nombreuses productions d’élèves viennent également enrichir les espaces communs du bâtiment B, offrant ainsi une immersion mathématique « hors les murs » des salles de classe.

On peut notamment y admirer : Des figures géométriques réalisées par des élèves de 6ème ;

Des tracés élaborés par les élèves ULIS de Mme Biehler, exposés devant la salle B03-ULIS ;

Une sélection d’ouvrages scientifiques et de biographies de mathématicien(ne)s à consulter au CDI.

Nos élèves ont également pris part à divers concours mathématiques, témoignant ainsi de leur engagement et de leur goût pour la discipline : la Course aux nombres, Mathématiques Sans Frontières Junior pour les 6ème,

ainsi que Mathématiques Sans Frontières 3ème – 2de pour les élèves de 3ème2, en jumelage avec une classe de 2de du lycée Alexandre Dumas, une expérience enrichissante menée « hors les murs » du collège.

Nous adressons toutes nos félicitations aux élèves qui ont pris part à ces projets avec enthousiasme et persévérance !

Mme Ansart, MM Collignan et Fraipont.

Dans le cadre de la semaine des mathématiques « hors les murs », les élèves de 6e et de 5e ont pu étudier une jolie application des mathématiques, pour voir une partie plus intéressante et captivante des mathématiques, ne se résignant pas à un aspect calculatoire par exemple. Ces applications du repérage ont pour but de créer des anamorphoses. Une anamorphose est la déformation d’une image, qui peut être reconstituée au point de fuite.

Ainsi, les 6e ont d’abord essayé de dessiner un cube en perspective cavalière, dans un repère orthogonal, puis ils ont dû reproduire leur cube dans un repère non-orthogonal. Lorsque les élèves ont établi leur 2e cube, qui a subi une déformation, nous avons essayé de retrouver le point de fuite en le prenant en photo, et ainsi obtenir le cube non déformé.

Afin de vérifier l’efficacité de leur illusion d’optique, un premier groupe d’élèves de 6ème ont réalisé à l’aide d’un programme de construction, le repère non-orthogonal agrandi, dans la cour de récréation.

Ensuite, un deuxième groupe d’élèves ont eu à reproduire le cube déformé en perspective cavalière à la craie, en se repérant à partir des trapèzes tracés au sol, la veille. En travaillant en équipe, ils ont réussi à achever leur anamorphose et à percevoir à l’œil nu, un joli cube dont les arêtes semblaient de même longueur.

En parallèle, les 5e ont aussi eu l’occasion de réaliser des anamorphoses … En lien avec le repérage et la construction du patron d’un cylindre, ils ont pu créer des anamorphoses cylindriques. Dans un premier temps, les élèves ont créé ou copié un modèle dans un repère orthogonal.

Puis, en repérant les graduations et les unités de longueur, ils ont pu reproduire leur modèle dans un repère sous forme de secteur angulaire. Ainsi, le repère du secteur angulaire se reflète dans la surface latérale du cylindre et reconstitue le modèle de départ établi par l’élève.

Les élèves se sont bien investis dans l’activité et ont été curieux d’apercevoir leur construction réussite ou non. L’utilisation du cylindre avec sa surface « miroir », était une jolie méthode pour contrôler la vraisemblance de leur résultat, ces derniers étant encore plus fiers, lorsqu’ils avaient finalement achevé leur anamorphose.

Plusieurs figures ont été réalisés par les élèves, certaines plus personnelles et d’autres plus créatives ….

Encore un grand bravo aux élèves de 6e et de 5e pour leurs magnifiques réalisations et leur bel enthousiasme dans le cadre de la semaine des mathématiques.

Mme Liermann

Hors les murs ? Mais pourquoi hors les murs ? Et bie nles élèves de quatrièmes ont très vite compris que les mathématiques ne sont pas seulement entre quatre murs et c’est avec leur tablette qu’ils sont sortis de la salle pour faire leur course aux nombres …

Mais finalement, les élèves se sont bien vite rendu compte que les murs c’est bien pratique.

Maths sur les murs
Maths contre les murs

Mais les troisièmes eux aussi voulaient s’affranchir des murs alors ils ont pris sous le bras 5 chaises numérotées de de 1 à 5 qu’ils ont placées à 20 mètres de distance. Puis 8 équipes de trois ou quatre se sont formées pour une compétition sportivement intellectuel.

Les huitièmes de finale ont débuté avec le tirage au sort des calculs à résoudre dont la réponse était 1, 2, 3, 4 et 5. Tiens c’est comme les chaises… Et oui vous avez compris qu’il fallait résoudre le calcul puis courir s’assoir sur la chaise correspondante pour ne pas risque d’être à deux sur la même chaise.

Et vous seriez-vous capable de faire ces calculs ?

Et puis hop hop hop toutes les stratégies se sont mises en place : pour certains, jouer aux probabilités, une chance de cinq de s’assoir sur la bonne chaise et pour d’autres les cerveaux se sont mis en ébullition pour être sur de ne pas perdre. Finalement les deux stratégies se sont montrer plus ou moins payantes, à vous de deviner laquelle était la meilleure.

On reconnait l’allure après des heures d’entrainement autour du stade

Même si le fond de l’air était quelque peu frais nous avons pu profiter d’une belle journée de printemps pour faire des math(ématique)s hors les murs. Etonnement même ce printemps à donner envie aux élèves de faire plus de mathématiques. Merci à eux d’avoir eu le courage de sortir de leur petit confort et pratiquer la matière différemment.

M. Martineau